Durante uma grande parte da minha vida identifiquei-me com a canção de Brel :
Le coeur bien au chaud
Les yeux dans la bière
Chez la grosse Adrienne de Montalant
Avec l'ami Jojo
Et avec l'ami Pierre
On allait boire nos vingt ans
Jojo se prenait pour Voltaire
Et Pierre pour Casanova
Et moi, moi qui étais le plus fier
Moi, moi je me prenais pour moi
Et quand vers minuit passaient les notaires
Qui sortaient de l'hôtel des "Trois Faisans"
On leur montrait notre cul et nos bonnes manières
En leur chantant
Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient bête
Les bourgeois c'est comme les cochons
Plus ça devient vieux plus ça devient c...
Os burgueses, os notários levantam suspeitas. Para quem conheceu o dr Terrível, da rua dos Caldeireiros isto parece claro.
Quem diz notários diz farmácias e similares.
Agora isto assusta-me.
Eu odiava notários e farmacêuticos mas tinha uma confiança infinita neles.
O que mee garante agora que o notário privado e a farmácia não fazem vigarices?
Les Bourgeois voltem,
Estão perdoados.!
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